Ce vent, ce vent du bord du fleuve qui percute mes tympans.
Unique mélodie qui calme mon esprit de tous mes tourments.
Ce vent qui anime les vagues et pulse le temps.
Les minutes s’effacent, les heures se dissolvent en laissant place au moment présent.
Je me perdrais des heures dans ce présent qui ne meurt jamais, qui m’habite et me redonne vie tendrement.